C’est bien, continuons, la belle terre rouge et brûlée comme héritage pour les générations futures se précise de plus en plus.
Madagougou c’est vraiment la machine à produire des bad news, c’est incroyable ça 😯
Donnez-nous une bonne nouvelle bon sang ! Je sais pas moi, la date de réouverture des frontières par exemple ?
Après le plat de cuir prada, serait-ce le des
sert qui l’accompagne cette ‘terre brûlée’? Quel menu ! Miem.il y a plusieurs raison à ces feux de forets: pour ankarafantsika, je penche plutot pour l’effacement des traces des abattages sauvages des bois precieux genre palissandre et bois de rose et après,on enocurage les riverains à y cultiver du mais et on rejette sur eux la faute
mitovy hevitra aminao ny tenako raha ny afo any @ireny faritra voaharo ireny
il faut un vice ministre de feux de forêt?
Dia efa tany mena no holovaina e! Rehefa misy afo, iza no mba mihezaka mamono izany? Tsy misy fa avela hofaty irery eo io. Na ny rano hamonona azy aza efa sarotra tadiavina!
Pourtant le MNP a fermé le parc.
Ka ilay tany anie ry Elman hoe tanindrazana fa tsy hoe taninjanaka e! Noho izany isika tsy mieritreritra ny ho avy mihitsy (zanaka) fa ny lasa foana (razana).
Rehefa ny ala no may, tsy misy ny vola hamonona ny afo; fa rehefa may ny endim-boajon’i mamasôsy (sy ny voude-beny) misy vola be hanakaramana ny mpamono afo eny @ tambazotra
hay ve izy iny big voude e?
Quelque part la réduction du cheptel bovin contribue aussi à la recrudescence de ces feux de savane. Les zébus ne consomment pas trop les hautes herbes pyrophiles des savanes mais celles-ci finiront par coloniser les pâturages (kijana) non entretenus par les bêtes.
Un bulldozer par aire protégée n’est pas futile pour le traçage et l’entretien annuel des pare-feux, car chez nous ces espaces boisés sont le plus souvent déjà entourés par la savane très inflammable.
Enfin, les gestionnaires des parcs où ces savanes sont présentes doivent songer sérieusement à la gestion par le feu. La pratique contrôlée et précoce du feu permet non seulement de réduire le risque mais favorise l’émergence d’espèces rares, curiosités botaniques pour le parc.
En Europe, les Etats taxent au max voire interdisent les produits issus de la déforestation (huile de palme, cacao, etc.). C’est peut-être aussi envisageable chez nous. Le brûlis peut être toléré pour des petites productions familiales de subsistance mais pas pour des produits d’export comme par exemple le sakamalaho autour de Beforona.