Et bah oui, comme je l’ai dis, les réalités internationales finissent par nous rattraper : cherté du fret, des matières premières, du transport et tout ça.
Et même à 50 000 ar, il n’y en a plus à Antsiranana, pénurie totale, on n’attend les prochains bateaux que vers le 10 novembre.
Ça rappelle l’ère Didier Ratsiraka toutes ces pénuries en tout genre.. Ciment, stock tampon, etc.
Retour 40 ans en arrière donc. Ekena sa tsy ekena ?